Reposant sur la capacité d’intervention de chacun, les startups proposent, durant cet après-midi, de construire ensemble les conditions de transformation de nos futurs modes de vie et d’ouvrir ainsi de nouvelles possibilités. Sous forme de capsules-débats, il s’agit d’avoir une réflexion sur nos propres actions, d’ouvrir les esprits et de rapprocher les visions des startups, des chercheurs et des acteurs socio-économiques du secteur de la construction :
À partir de 16h : conclusion, accès aux stands des startups exposantes et cocktail.
L’ESITC Paris publie chaque année une revue dédiée à la Recherche au sein de l’école. Cette publication met en avant l’imprégnation de nos étudiants à la recherche au travers de leurs travaux, stages et projets mais également les travaux et publications scientifiques de notre équipe d’enseignants-chercheurs ainsi que des doctorants ou stagiaires qu’ils accompagnent. Découvrez le nouveau numéro du TC Mag Recherche…
Bonne lecture !
A raison d’une conférence mensuelle entre octobre et mars, l’ESITC Paris & l’ESITC Metz organisent chaque année un cycle de conférences sur des thématiques actuelles, sujets innovants ou encore avancées techniques et scientifiques : Construction Responsable, Agile & 4.0
Joe Tannous, doctorant ESITC Paris, qui effectue sa thèse au sein de l’UMR MCD de l’Université Gustave Eiffel et du Cerema sur le thème du Développement de nouveaux matériaux pour une construction durable, a présenté à Rome lors du récent PhD symposium de la fib (https://www.fib-
Lancé en 2018 par le salon BATIMAT, organisé par RX France, le Challenge Start-ups Construction Tech® a pour vocation de mettre en avant les start-ups de la filière Construction / Bâtiment / Immobilier mais également de faire émerger toutes les start-ups qui souhaitent proposer leurs solutions dans ces secteurs. Pour cette 4 ème édition le Challenge Start-ups Construction Tech® mettra notamment l’accent sur les solutions de la Construction 4.0 : BIM mais aussi Hors-Site, automatisation, fabrication additive…
Le coup d’envoi de la quatrième édition du Challenge Construction Tech® est dès à présent donné ! Les startups ont jusqu’au 30 novembre 2021 pour proposer leurs candidatures qui seront étudiées par un jury d’experts courant décembre 2021. Les résultats seront annoncés officiellement fin décembre. Les lauréats, ainsi que le Grand Lauréat, seront élus en fonction de plusieurs critères dont la pertinence et la maturité de la solution ou du produit présentés, dans des domaines aussi variés que :
– La numérisation et la data : BIM, réalité augmentée, maintenance prédictive, Big Data, IA, etc.
– L’industrialisation : automation, robotique, logistique, impression 3D, hors-site, etc.
– Les chantiers du bâtiment : les drones, les outils de gestion etc.
– Les nouveaux matériaux et leur traçabilité
Le BIM World vous donne rendez-vous le 23 et 24 juin. Ce sera l’occasion d’assister à des conférences pratiques et techniques sur l’OpenBIM, mais également de venir rencontrer notre équipe TriDyme !!
ArchiMatérial, partenaire de l’ESITC Paris, est venu installer des nouveaux panneaux dans la matériauthèque de l’école. Startup française dédiée à la mise à disposition de la documentation des produits de l’architecture et de la construction & véritable plateforme documentaire et
collaborative, ArchiMaterial référence des milliers de produits et propose à ses utilisateurs l’ensemble des éléments nécessaires à l’élaboration d’un projet avec l’accès à un Showroom à la fois réel et virtuel, la découverte des matériaux grâce à une présentation du produit sur un panneau physique. Avec leur Smartphone, ils peuvent entrer dans une présentation virtuelle avec vidéos de démonstration, documents techniques et mise en situation du produit. L’interaction avec la matière est totale.
Prochaine étape de ce partenariat, le 5 mai pour une table ronde coorganisée sur le thème : Sécurité incendie et construction bois.
Le 11 janvier 2021, le Laboratoire de Recherche de l’ESITC Paris a signé une convention de partenariat avec l’entreprise Eiffage autour de thématique de « La ville durable ». M. Faucheux, Directeur des innovation de la ville Eiffage Aménagement et immobilier et M. Dapilly, Responsable de projet innovation durable au sein de la Direction Développement Durable et Innovation transverse, ont accepté de nous en dire quelques mots…
Qu’est-ce qui intéresse Eiffage dans le fait de travailler avec les étudiants et apprentis de l’ESITC Paris ?
« Dans les valeurs du Groupe : Responsabilité, Confiance, Transparence, Exemplarité, Lucidité, Courage, Pugnacité, nous pouvons lire entre les lignes la volonté d’être une entreprise utile. Ainsi, participer à la formation des jeunes professionnels fait partie de notre engagement. Donner envie, partager son expérience personnelle, faire comprendre les enjeux de chaque tâche qui participe à un projet global fait partie de ce que nous apportons dans un tel partenariat.
Mais pour Eiffage, c’est également recevoir et comprendre ce qui intéresse, stimule les décideurs, professionnels et citoyens de demain. Très concrètement, c’est aussi l’occasion pour nous d’attirer les talents de demain. » M. Faucheux
Quelles sont les grandes innovations attendues pour la ville durable ?
« Les sujets proposés sont ceux qui interpellent Eiffage très concrètement. D’une part, dans le cadre de l’application des grandes stratégies du Groupe : stratégie bas-carbone, plan d’actions biodiversité, transition digitale. D’autre part, l’anticipation des prochaines réglementations : loi Lutte contre le Gaspillage et Economie Circulaire, Réglementation Environnementale 2020, Responsabilité Elargie des Producteurs, collecte domestique des bio-déchets, etc. » M. Dapilly
« Si ces sujets vont être très concrets entre 2020 et 2025 en termes de « respects des réglementations » et engagement de performance, il s’agit aussi d’avoir une vision à moyen et long terme.
Liste de ces innovations :
Quelles attentes à propos de ce partenariat avec l’ESITC Paris ?
« Les attentes d’Eiffage reposent notamment sur la partie « documentation et bibliographie », qui permet de nourrir ces sujets très opérationnels par des fondamentaux scientifiques. Un travail de recueil, d’organisation des connaissances et de synthèse qui sera très précieux.
Nous attendons également de pouvoir émettre des propositions sans contraintes directes en termes d’autorisation, de financement et d’acceptabilité par les décideurs, les riveraines et les citoyens. Cela va permettre de donner un espace temps à des propositions qui demain peuvent trouver une suite expérimentale dans des projets concrets ! » M. Faucheux
« C’est ici dans la continuité d’une stratégie d’action du groupe Eiffage par « DEMONSTRATEURS » ! Depuis le laboratoire Phosphore, Eiffage pousse des démonstrateurs à l’échelle de bâtiments (en bois, en containers recyclés, …) et des quartiers (Smartseille, LaVallée…). » M. Dapil
Étudiants en 4ème année à l’ESITC Paris, Nicolas Hamimi et Baptiste Kech ont cette année dû choisir le sujet de leur Projet de Recherche et d’Innovation. Conformément aux recommandations de la Commission des Titres d’Ingénieur (CTI), un module Recherche, est mis en place dès la 2ème année du cycle préparatoire. En 4ème année, le Projet de Recherche & d’Innovation a pour objectif de permettre aux élèves-ingénieurs de s’ouvrir au monde par la Recherche, à l’Innovation ou en traitant des projets complexes du BTP. Pour ce faire l’Esilab, (fblab de l’école), met à disposition tout le matériel nécessaire à la réalisation de ces projets, des tuteurs sont là pour guider et orienter les étudiants tout au long de ce module. Nicolas Hamimi et Baptiste Kech, ont accepté de nous en dire davantage dans une courte interview….
Qu’est-ce qui intéresse Eiffage dans le fait de travailler avec les étudiants et apprentis de l’ESITC Paris ?
« Dans les valeurs du Groupe : Responsabilité, Confiance, Transparence, Exemplarité, Lucidité, Courage, Pugnacité, nous pouvons lire entre les lignes la volonté d’être une entreprise utile. Ainsi, participer à la formation des jeunes professionnels fait partie de notre engagement. Donner envie, partager son expérience personnelle, faire comprendre les enjeux de chaque tâche qui participe à un projet global fait partie de ce que nous apportons dans un tel partenariat.
Mais pour Eiffage, c’est également recevoir et comprendre ce qui intéresse, stimule les décideurs, professionnels et citoyens de demain. Très concrètement, c’est aussi l’occasion pour nous d’attirer les talents de demain. » M. Faucheux
Quelles sont les grandes innovations attendues pour la ville durable ?
« Les sujets proposés sont ceux qui interpellent Eiffage très concrètement. D’une part, dans le cadre de l’application des grandes stratégies du Groupe : stratégie bas-carbone, plan d’actions biodiversité, transition digitale. D’autre part, l’anticipation des prochaines réglementations : loi Lutte contre le Gaspillage et Economie Circulaire, Réglementation Environnementale 2020, Responsabilité Elargie des Producteurs, collecte domestique des bio-déchets, etc. » M. Dapilly
« Si ces sujets vont être très concrets entre 2020 et 2025 en termes de « respects des réglementations » et engagement de performance, il s’agit aussi d’avoir une vision à moyen et long terme.
Liste de ces innovations :
Quelles attentes à propos de ce partenariat avec l’ESITC Paris ?
« Les attentes d’Eiffage reposent notamment sur la partie « documentation et bibliographie », qui permet de nourrir ces sujets très opérationnels par des fondamentaux scientifiques. Un travail de recueil, d’organisation des connaissances et de synthèse qui sera très précieux.
Nous attendons également de pouvoir émettre des propositions sans contraintes directes en termes d’autorisation, de financement et d’acceptabilité par les décideurs, les riveraines et les citoyens. Cela va permettre de donner un espace temps à des propositions qui demain peuvent trouver une suite expérimentale dans des projets concrets ! » M. Faucheux
« C’est ici dans la continuité d’une stratégie d’action du groupe Eiffage par « DEMONSTRATEURS » ! Depuis le laboratoire Phosphore, Eiffage pousse des démonstrateurs à l’échelle de bâtiments (en bois, en containers recyclés, …) et des quartiers (Smartseille, LaVallée…). » M. Dapil
Ce jeudi 21 janvier, Ara Shahnazaryan, fondateur de la société S.H.Conseil, était présent pour échanger avec les incubés autour des thèmes de la Stratégie d’entreprise et de la Transformation numérique. Il a accepté de nous dire quelques mots sur cette session dont le but fût d’aider les « start’upeurs » à structurer leur activité sur les plans marketing et commercial…
Pourriez-vous nous dire quelques mots sur votre parcours professionnel ?
« Après avoir travaillé pendant une vingtaine d’années au sein de sociétés internationales de premier plan dans divers métiers : stratégie d’entreprise, business development, marketing, digital, fidélisation, etc., et chez les industriels des produits de construction (chimie, sanitaire, électricité), je mets maintenant mes compétences sectorielles et numériques au service des intervenants du secteur industriels, distributeurs, promoteurs, et évidemment des startups. Depuis plus de deux ans, je propose mes services au travers de la société S.H.Conseil spécialisée dans la transformation numérique dans le secteur du bâtiment et dont je suis le fondateur. »
Sur quels sujets, plus précisément a porté cette journée ?
« Il s’agissait de la seconde session de travail pour Guillaume Cassin, Guillaume Persoz et Morad Khiat, fondateurs respectifs de Tridyme, Batis et Mylkee : trois startups faisant partie de l’incubateur. L’objectif était de leur apporter un support dans les domaines du développement commercial ainsi que dans la structuration de leurs activités marketing : comment gérer l’acquisition, la conversion et la rétention des clients, en particulier par les canaux digitaux ? Quels outils déployer pour communiquer, mesurer, automatiser les actions ? Comment segmenter ses clients de manière pertinente et définir les priorités ? »
Quels retours avez-vous eu de la part des participants ?
« Les retours sont très positifs. D’une part, il y a eu un vrai intérêt pour échanger sur les bonnes pratiques entre les uns et les autres, chacun ayant déjà essayé certaines techniques ou stratégies. D’autre part, c’était l’occasion pour eux de prendre de la hauteur sur l’approche client et sur les actions pour accélérer le développement commercial. Cela a permis selon moi d’identifier de nouvelles idées, approches complémentaires, voire de sélectionner des priorités. Compte tenu du retour fait à la fin des séances du travail individuelles, il me semble que cela a été bénéfique pour les trois sociétés, qui avaient chacune des besoins différents. »